Le jeudi 19 septembre, l’IFCI a donné le coup d’envoi de sa nouvelle saison culturelle sous le thème Habiter demain. Une soirée riche en émotions, en créativité, et en réflexion sur le futur. Si vous n’avez pas pu être des nôtres, voici un aperçu des moments qui ont marqué la soirée.
Un voyage poétique et mémoriel,
La soirée s’est ouverte sur les mots vibrants de L’encre des étoiles, dans une performance intitulée Femme poète. À travers des vers vibrants, elle a posé un regard intense sur la place de la femme dans le monde de demain.
Imaginer demain,
On continue ce voyage dans l’avenir d’Abidjan avec les œuvres de l’artiste Jean David Niangoran qui ont révélé une vision engagée sur le futur de la ville. Entre projections écologiques et rêves d’une métropole plus inclusive, ses créations ont posé les jalons d’une réflexion collective.
Danse et vision urbaine,
Les amateurs de danse ont également été comblés avec une double dose de performance : les Hip Hop Games ont ajouté une dimension créative à la danse urbaine, tandis que l’Ivoire Breaking Competition a souligné la technicité et la passion des danseurs. Ces deux événements ouvrent une réflexion sur le rôle de la culture urbaine dans l’avenir de la ville.
Un devoir de mémoire,
Et pour clore ce voyage dans le temps, la pièce Soundjata Keita d’Abass Zein a offert un plongeon dans l’histoire, un retour sur les fondements mêmes de la culture africaine, tout en posant un devoir de mémoire essentiel : comment comprendre notre passé pour mieux construire l’avenir ?
Un avant-goût prometteur
Cette rentrée culturelle marque le début d’une saison prometteuse, avec de nouvelles perspectives et réflexions sur Abidjan, ville en pleine mutation. Et si la soirée du 19 septembre a planté les graines de cette thématique Habiter demain, la suite promet d’être encore plus passionnante.
La question reste donc ouverte : Et vous, comment imaginez-vous habiter demain ?